 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
|
- | Nom de l'armée allemande de 1919 à 1935. Reichswehr signifie littéralement "Défense du Reich". Dans les limites imposées par le Traité de Versailles, la Reichswehr ne pouvait compter plus de 100.000 hommes dans l'armée de terre et 25.000 dans la marine. Lorsque Hitler, en 1935, décida de la réarmer, la Reichswehr pris le nom de "Wehrmacht" (voir ce terme).
|
Dans ce texte : Pourquoi en rajouter ? de Thiriel le lundi 30 octobre 2006 à 17h47
Bonjour.
En passant, je vous cite: Le corps des officiers de la Reichswehr, qui avait une meilleure connaissance du dossier, ne lui a jamais manifesté la considération minimale qui aurait été de mise envers un caporal décoré et promu au feu. A commencer par le maréchal Hindenburg, et jusqu'à Von Runstedt qui le qualifiait de "caporal de Bohême"
Prendre ce fait comme un argument à charge objectif à l'encontre du courage au feu de l'"homme du rang Hitler" c'est méconnaître toute la tradition militaire prussienne et son esprit de caste. En l'occurence, la tare initiale du "petit caporal de Bohème" aurait de toute manière été, quels que fussent les autres paramètres en jeu, de ne pas en être issu.
Hitler ne devint certainement pas "rétroactivement" un "mauvais soldat" parce qu'il devint le tyran sanguinaire que l'on sait par la suite. Une foultitude de témoignages et deux croix de fer sont là pour l'attester. De même, il ne fut sans doute pas plus mauvais peintre qu'un très grand nombre de ses contemporains mieux évalués sous l'unique pretexte qu'il devint "l'incarnation du diable" himself. La réalité est bien suffisamment noire pour ne pas avoir à verser dans une sur-caricature inutile.
Cordialement *** / *** |
|