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ROGER NIMIER - Marc Dambre
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


hussard
-

Le mot "hussard" est d'origine hongroise. "Huszar" signifie vingtième; du mot "husz", vingt. Passé par la langue allemande "husar", il arrive en français au début du XVIIe siècle sous la forme de "housard", "houssari", "houssar", "houssard"...
Pourquoi vingtième? Parce qu'un homme sur vingt entrait dans la célèbre cavalerie hongroise. Plus tard, hussard désigna le cavalier de n'importe quelle armée.
Dans les années 50, les titres de deux romans célèbres comprirent ce terme: "Le Hussard sur le toit", de Jean Giono (1951) et "Le Hussard bleu" de Roger Nimier (1950). On a désigné comme "hussards" en littérature: Roger Nimier, Jacques Laurent, Antoine Blondin et Michel Déon.
La locution "à la hussarde" c'est-à-dire à la manière des hussards peut se traduire précisément par "cavalièrement".


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


PS - Poste de secours - France
-

Poste de secours à ne pas confondre avec un parti politique.

Dans ce texte :

Sur Déon... de René CLAUDE le jeudi 19 octobre 2006 à 16h10

(Note d'intention : ce message n'a pas pour but d'énerver Arcole. Il est là à titre informatif. D'ailleurs je n'ai jamais ressenti la moindre affinité avec Maurras et les maurrassiens, mais l'homme est incontournable pour comprendre l'histoire intellectuelle de la première moitié du XXe siècle.)

A l'occasion de la parution en Quarto des romans de Déon, Il y a un joli texte nostalgique de Eric Neuhoff (hussard honoraire) sur sa découverte de l'écrivain dans le Fig. Litt. de cette semaine. Comme il est court, je le dépose ici :
C'EST MON PREMIER livre de Déon. Je me souviens de cet été 1973 où je dévorais goulûment Un taxi mauve, le soir sur une terrasse d'Espagne. Le volume Gallimard - je l'ai toujours - appartenait à ma grand-mère. Dans la maison, tout le monde dormait. J'étais sur la Costa Brava et pourtant je marchais dans la tourbe, je chassais la grouse, je visitais des manoirs abandonnés dont tous les miroirs avaient été brisés. Surtout, surtout je couchais avec la princesse Sharon, qui se laissait prendre sans se donner. J'avais dix-sept ans et il ne m'était rien arrivé. Il me semblait que la vie serait comme ça, faite d'exil, d'instants magiques et de regrets. Je n'ai jamais oublié ce narrateur laconique qui cache un secret. Ça doit être un des romans que j'ai lus le plus dans ma vie (il y a aussi Gatsby, L'Attrape-coeur et Le Feu follet). C'est fou, le nombre de choses que j'ai faites à cause de ce roman. Je suis allé en Irlande un mois de mars où il ne pleuvait même pas. J'en ai offert des exemplaires à la terre entière. J'ai vu le film de Boisset dans ses deux versions (la scène où Charlotte Rampling dit « Surprise, surprise » est meilleure en anglais). J'ai évidemment lu les oeuvres complètes de l'auteur. Par la suite, j'ai rencontré Michel Déon, mais cela est une autre histoire, qui ne se raconte pas. Personnellement, j'aurais écrit Un taxi mauve, je me serais reposé sur mes lauriers jusqu'à la fin de mes jours. Nous sommes tous des amoureux de la princesse Sharon.

L'article sur la réédition Quarto :

Et aussi :


A propos d'écrivains qui flirtèrent un temps avec la pensée politique de Maurras, j'ai vu que la collection Grandes Biographies de chez Flammarion avait édité une bio du père de l'Action française.
Le 4e de couv.
En 1932, Jean Paulhan écrit qu'un jeune homme désireux de s'engager politiquement n'a de véritable choix qu'entre Karl Marx et Charles Maurras : alternative inconcevable aujourd'hui, tant Maurras incarne à nos yeux une France du passé, haineuse et coupable. Comment, pourtant, occulter la vie et l'oeuvre de cet homme, sans lesquelles le XXe siècle demeure largement incompréhensible ? Comment expliquer qu'il ait influencé des personnalités aussi différentes que celles de Charles de Gaulle, T. S. Eliot, Jacques Lacan, Philippe Ariès, Georges Dumézil... ? Tenter de comprendre la fascination qu'il exerça, est-ce nécessairement verser dans l'irrationalité antisémite qui entachait sa pensée ?
Car Maurras fut l'un des personnages les plus contrastés de cette France dorée et trouble de la Belle Époque et de l'entre-deux-guerres. Il y a le Provençal monté tout jeune à Paris, disciple de Frédéric Mistral et de Dante, dont les idées fédéralistes sont saluées à gauche comme à droite ; il y a le héraut du royalisme, fondateur de l'Action française au tournant du siècle, défenseur du catholicisme, mais agnostique lui-même ; il y a le journaliste polémiste antisémite et antidreyfusard, hostile au nazisme dès 1923 ; il y a le critique littéraire, qui salua en Proust, auteur inconnu des Plaisirs et des Jours, un écrivain exceptionnel ; il y a le poète et prosateur, que Gide, Colette, Valéry et tant d'autres mettaient au pinacle de la littérature française... Il y a aussi, bien moins connu, un Maurras bon vivant, épris des femmes et nourri de culture antique.
S'appuyant sur des correspondances, des documents et des témoignages inédits, cette biographie propose un portrait fouillé, qui raconte aussi l'une des époques les plus complexes de l'histoire de France.


RC

PS : Les librairies en ligne : le site de celle-là est bien fait :

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