La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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Dans ce texte : Des sources sûres contre les thèses de Staline de René CLAUDE le lundi 09 octobre 2006 à 20h28On a discuté dans plusieurs fils LdG d'un introuvable "œil de moscou" qui, dans le premier cercle de Hitler et/ou au sein du haut état-major de la Wehrmacht, aurait informé durant toute la guerre à l'Est la stavka et Staline des choix stratégiques et tactiques allemands. Si on suit David E. Murphy dans son étude, il apparaît que les services de renseignement de l'Armée rouge et du NKGB puisaient leurs informations à Berlin et dans les capitales européennes à une multitude de sources, conscientes ou non. Cette thèse me semble plus crédible que celle d'un super espion opérant dans les centres décisionnels du IIIe Reich. Bien sûr, c'est moins palpitant et moins "romantique", mais plus proche de la réalité historique. Murphy mentionne des sources déjà connues comme Haro Schulze-Boysen ou Arvid Harnack (au ministère allemand de l'Economie). Un policier, Wilhem Lehmann, fut aussi une source sûre recrutées par les agents des réseaux dirigés par Fitine qui dépendait de Beria , fidèle courtisan du maître de l'URSS, mais qui marchait sur un fil, car il ne fallait pas que ses rapports contredisent les conclusions du chef suprême. C'est cette absurdité érigée en mode opératoire qui causa la mort de millions de soviétiques. Des dizaines de sources annoncèrent l'attaque nazie pour le printemps 1941; Staline méprisaient ses sources qu'ils accusaient d'avoir été retournées par... les Britanniques ou les trotkystes !
RC *** / *** |
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