le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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RAF - Royal Air Force - Grande-Bretagne |
- | Force aérienne britannique
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RAF - Régiment d'artillerie de forteresse - France |
Dans ce texte : une énigme persistante de arcole le mercredi 09 août 2006 à 16h37Cavanna, dans "Les Russkoffs" apporte son témoignage personnel. Ces avions, il les a vus, et il les dit italiens sans problème. Se pourrait il que dans le cadre d'une "mission spéciale" les Allemands aient laissé utiliser un aérodrome plus proche, pour tourner les défenses françaises sur les Alpes? Même sur le plan terrestre, l'offre avait été faite de tranférer des troupes italiennes sur la vallée du Rhône...
Il est regrettable qu'il n'existe pas une seule photo de ces mystérieux avions agresseurs.
Les témoins sont unanimes à parler de vert blanc rouge. Or l'aviation du Duce n'arborait pas de cocardes tricolores en juin 40 (tout au plus, peut être, un fanion tricolore sur l'empennage).
Quels autres avions à cocarde auraient pu survoler les routes de l'exode en juin 1940?
- Pas la RAF, replié chez elle depuis Dunkerque dommage pour les anglophobes,
- alors... ERREUR de l'armée de l'air?
A cette date, plus personne ne savait exactement où se situaient les pointes extrêmes de l'avance allemande. Et des missions d'attaque au sol ont été demandées à ce qui subsistait des escadrilles françaises. Même les chasseurs Morane 406! En témoigne, le capitaine Williame dans "L'escadrille des cigognes". Contre les colonnes d'invasion allemandes, l'effet des armes de bord d'un Morane pouvait tout juste être symbolique. Sur des civils, c'était évidemment dévastateur.
- Autre hypothèse: la réutilisation PAR LES ALLEMANDS d'avions français capturés, pour accroitre la panique. Les usines Potez avaient été capturées,dans le Nord, avec de nombreux avions intacts, et en région parisienne, tout un parc de bimoteurs Bréguet 693 avait été également abandonné par l'armée française sans avoir été détruit.
Quand on sait que les Allemands ont utilisé sans vergogne des hydravions français, sous cocarde tricolore, pour faire des repérages sur les côtes anglaises, cette hypothèse n'a rien d'invraisemblable. *** / *** |