le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Sir (Basil Lidell Hart) - Grande-Bretagne |
- | Comme pour le Général Patton, je m'étonne de ne pas trouver mot sur ce grand écrivain, spécialiste des guerres mondiales.
Note : Le glossaire est en chantier permanent ! N'hésitez pas à participer et à déposer vos définitions ou courtes biographies.
FD
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Dans ce texte : De l'imprévu ? Certes ! de françois delpla le vendredi 14 juillet 2006 à 15h38
et si Hitler avait simplement atteint "trop tot" le but qu'il s'etait fixe et que, surpris lui meme par son absence de plan pour la suite immediate, il ait voulu se donner un temps de reflexion ?
Oui et comme il y avait toujours son vieux désir de parvenir à une entente avec la Grande-Bretagne, il a voulu utiliser cette avance imprévue sur son plan pour réflèchir et relancer ses offres de paix. Hitler, alors en pleine possession de ses moyens intellectuels en esprit pragmatique en ce début de conflit a employé cette avance pour revoir ses plans. "Trop tôt" est effectivement un argument évoqué dans des essais et des docus. (Je vais faire une recherche durant les vacances.)
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Si on permet à l'auteur de se mêler un instant au débat, il est certes d'accord que Hitler, pendant cette pause, médite sur un fait imprévu. Non point du tout la rapidité de son avance militaire. Mais bien la présence de Churchill au Ten DS (lors de la planificaiton de l'attaque son locataire se nommait Chamberlain) et, plus enocre, sa capacité de maintenir le pays dans la guerre malgré l'écroulement de l'allié français et, en ce 24 mai, la position désespérée de l'armée britannique elle-même (Hitler ayant probablement, dans la phase de planification, spéculé sur son embarquement peu après la percée de Sedan, gros de bisbilles interalliées).
Cela dit, l'arrêt ne saurait procéder du besoin de réfléchir, mais bien de celui de faire réfléchir les gouvernements de Paris et de Londres sur le caracrtère désespéré de la situation, et l'urgence d'un traité de paix s'il est assez "généreux". *** / *** |