le Glossaire de Francis a trouvé : - | Charmante localité du Loir et Cher, proche de la vallée de la Loire et de ses châteaux et, en 1940, à la lisière de la ligne de démarcation entre la zone Nord occupée et la zone Sud dite libre.
Le 24 octobre 1940, Pétain y rencontra Aldof Hitler pour une vigoureuse poignée de main et une conversation à bâtons rompus. Quelques jours plus tard, le 30 octobre, Pétain proclama sur les ondes de la radio : "J'entre aujourd'hui dans la voie de la collaboration".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Stupéfaction bienveillante de françois delpla le mardi 11 juillet 2006 à 13h25
Cher Etienne,
Je ne comprends goutte à votre mercuriale. Car il me semble, quelle que soit la pertinence de vos critiques à mon endroit, que le message auquel vous répondez va très précisément dans le sens que vous dites souhaiter.
Un internaute a promis il y a déjà un petit moment, en disant qu'il était en train de l'écrire, une critique sévère d'une de mes thèses (le lien entre le statut des Juifs et la préparation de Montoire), critique censée développer celle, rapide et ratée, que fait en passant dans une note de son dernier ouvrage le jeune historien Laurent Joly. Ledit contributeur a offert d'atténuer la sévérité de ses propos si je me conformais à certains de ses souhaits.
Je ne tiens aucun compte de cette offre étrange et lui demande d'y aller franco. C'est tout.
Par ailleurs, je ne peux laisser passer ceci :
Qu'est ce qui vous retiendrait, cher Francois Delpla, d'ameliorer encore votre image d'historien en considerant, pour les incorporer a votre vision personnelle, les faits qui vous sont soumis par d'autres et en reduisant l'aspect personnel des controverses pour concentrer plus encore votre reflexion sur l'analyse des faits?
Je l'ai toujours fait et croyez bien que je le ferai encore. Oserai-je ajouter que l'amélioration de mon image, qui n'est d'ailleurs pas pour moi un objectif, ne dépend pas que de moi ?
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