le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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FFI - Forces Françaises de l'Intérieur - Résistance (France) |
- | Créées par ordonnance du CFLN (Comité français de libération nationale) le 1 février 1944, les FFI réunissent, en principe, l'ensemble des mouvements de la Résistance intérieure. Le 28 août, après la Libération, le général de Gaulle décide leur incorporation dans l'armée régulière et la dissolution de leurs état-majors
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Dans ce texte : Tout l'Est de la France? de arcole le jeudi 08 juin 2006 à 12h08Je croyais quand même que les divisions américaines,3e, 36e, 45e, notamment avaient été le fer de lance de la progression, des plages du débarquement aux Vosges. Que ce sont elles qui ont libéré, depuis Aix, toutes les villes sur leur axe de progression, et dans les Alpes. Notre immortelle armée d'Afrique (qui avait quand même libéré Toulon et Marseille, AVEC L'AIDE DES FFI), n'a fait que suivre, sur leurs traces.
A trop vouloir tirer la couverture à soi, on découvre les autres.
Puisque nous parlons de chiffres, il est question de 4600 morts pour les troupes "indigènes" pour toute la campagne, Italie et France inclues. A comparer avec les 12000 morts américains du seul 6 Juin 1944. Et les Ricains aussi, n'en avaient rien à foutre, qu'on soit libres ou occupés.
On aura beau faire mousser, il reste une évidence: les forces françaises, toutes unités confondues,(FFL, FFI, et les MVTQJ ( Mieux vaut tard que jamais) représentaient, fin 44, la proportion de 1/30e des forces alliées.
Si tous les alliés s'étaient brusquement retirés pour nous laisser seuls, face à face avec ce qu'il restait de la Wehmacht, nous aurions à nouveau pris la pile, comme en 40. *** / *** |