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Notes de Guerre - Général de Monsabert
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Autour - Allemagne nazie
-

Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.


Combat - Résistance (France)
-

L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


Patton (George S.) - USA
-

En fait, je ne propose pas de définition (vous êtes de bien plus grands spécialistes que je ne pourrais jamais l'être), mais je m'étonne de ne pas retrouver sa trace dans le glossaire...

Note : Le glossaire est en chantier permanent ! N'hésitez pas à participer et à déposer vos définitions ou courtes biographies.

FD


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")

Dans ce texte :

Un portrait savoureux et acerbe de Monsabert :........... de Laurent Laloup le dimanche 04 juin 2006 à 22h14

..........et un autre, de son successeur, le colonel Magnan. (par Georges Elgozy)

Une canne à la main, Monsabert, tonitruant, aimait à trottiner en tête de ses hommes qu’il appelait familièrement « mes enfants ». il tutoyait tout son monde et s’adressait à chacun en commençant par « mon fils » lorsque, par inadvertance, il avait oublié son prénom. Comme l’atome, il était animé de mouvements parfaitement irréguliers, du genre browniens, toujours imprévisibles. On le croyait à la 2e compagnie, il se trouvait à Alger ; on le supposait chez de Gaulle, il était chez Giraud.
Comme Patton, Monsabert dit « Mon sabre », exigeait de tout contrôler « au niveau » du sous-officier ou de l’officier subalterne. Débonnaire et volubile, il galopait gaiement en avant des sections de pointe, avec cet « allant de cavalier » qui valut à cette arme désuète tant de victoires inattendues et tant de massacres prévisibles.
Plus serein, cartes et jumelles en main, le colonel Magnan préférait suivre les opérations auprès des chefs de bataillon ou de compagnie. Efficacité et sobriété éclipsaient en lui toute velléité de panache et de spectacle. En peu de jours, le respect qu’il portait à chacun de nous, soldat ou officier, fut bien plus apprécier que la familiarité de commande chère à son prédécesseur.
Deux styles, deux chefs. Et pas « même combat » : ce qui nous importait davantage. Le général commandait « ses » hommes ; le colonel commandait des hommes. Pour qui doit obeîr en risquant sa peau, la nuance est perceptible.

Autant ou plus que Monsabert, Magnan aimait ses troupes. Tout simplement il n’éprouvait pas le besoin de le prouver, encore moins de le dire (…)

Comme Carnot, Monsabert estimait que l’ardeur des troupes pouvait suppléer l’insuffisance de leur armement. Ils se trompaient. Et leur erreur commune coûta fort cher en homme, sinon en équipement.

(…)
Le général de brigade Goislard de Monsabert, que les soldats indigènes préféraient appeler en arabe « celui qui marche en avant », galopait si allègrement qu’il finit par perdre son jouet baroque : le Corps franc. Des les premiers jours de février, une troisième bonne étoile – tombée du ciel algérois – allait ramener ce nouveau général « de division » aux côtés de Giraud et de Juin. Képler lui-même n’eût point prévu les déviations politiques engendrées par ces mouvement de satellites autour du foyer solaire.
Sur terre, nos demi-brigades, tôt décimées, seraient devenu trop squelettiques pour un divisionnaire. Les stratèges d’Alger savaient, assurément, qu’il ne faut pas changer d’attelage en traversant les rivières ; en Tunisie, il ne s’agissait que d’oueds.


Bonnes lecures
Laurent

*** / ***

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