La description du sujet
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§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Gehlen (Reinhard) - Allemagne |
- | Richard Gehlen est né en 1902. Durant les premières années de la République de Weimar, il s'engage dans la Reichswehr où il gravit les échelons sans problème. En pleine guerre (1942), il est nommé commandant des Fremde Heer Ost chargés de récolter et d'analyser les renseignements sur l'URSS pour le front de l'Est. Cette fonction lui permet d'exprimer un anticommunisme viscéral. Au printemps 1945, Gehlen propose à Walter Schellenberg la création de maquis en Pologne pour résister à l'avancée soviétique. En vain. Convoqué par Hitler, il lui fait un exposé de la situation du Reich sans fard. Le Führer n'apprécie pas la présentation de Gehlen. Il est révoqué le 9 avril 1945 et se retrouve au chômage technique dans la Führerreserve de l'OKH. Il profite des dernièrs passages vers le Sud de l'Allemagne pour y mettre en sûreté les archives des FHO. En juin 1945, il rencontre l'agent John Boker, capitaine des renseignements de l'US Air Force chargé des interrogatoires de prisonniers auquel il propose ses services, ses réseaux et son anticommunisme. Après une série de péripéties, l'armée confie le colis Gehlen au général Sibert qui l'installe en Allemagne dans la "Maison bleue" futur siège de son organisation qui recrute et recycle un tiers de ses agents parmi des anciens du SD et de la Waffen SS. Les Américains ne bougent pas. En juillet 1949, la CIA contrôle officiellement les réseaux Gehlen sous le nom de code Zipper.
L'année suivante, le gouvernement de la zone ouest d'occupation alliée est autorisé à monter un service de contre-espionnage. Le chancelier Andenauer propose que Reinhard Gehlen prenne la direction du futur BfV, une candidature qui soulève un tollé chez les Alliés. Mais le durcissement de la guerre froide va permettre à Gehlen d'être propulsé à la tête des services ouest-allemand qui deviennent le Bundesnachrichtendienst (BND) le 20 février 1956.
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Dans ce texte : Pie XII de Etienne Lorenceau le mercredi 31 mai 2006 à 20h16Je ne suis pas vraiment en desaccord avec Arcole, l'exemple de la Hongrie est effectivement tardif et ne visait qu'a etre un exemple parmi d'autres. J'avais egalement indique que toutes les negociations de la resistance allemande au nazisme (bien anterieures a la Hongrie) furent menees par l'entremise du Vatican.
En ce qui concerne l'assistance donnee par le Vatican aux criminels de guerre en fuite, elle est bien sur intolerable mais il convient de se rapeler que tous les allies, notament les americains (sous la houlette de Gehlen) et les Britanniques (sous la houlette de Schellenberg) organiserent la lutte a venir contre le communisme et le pillage scientifique ... en organisant des filieres d'evasion pour les criminels nazis(scientifiques ou non) ... avec l'aide du Vatican.
En ce qui concerne les Republicains Espagnols, il existe de facon repandue une vision tres romantique de leur lutte faisant abastraction de ce qu'elle etait financee, armee en hommes, en officiers et en materiels par Staline avant meme que le despote Franco ne reagisse pour les explulser d'Espagne: rien n'est totalement simple
Nous pourrions peut etre nous rejoindre sur ce constat de non-evidence sans nier aucune des erreurs qui sont historiquement etablies mais sans les isoler des exemples contraires, alors notre reflexion devrait pouvoir avancer en evitant l'ecueil de l'exasperation de l'une ou l'autre des theories.
Je serais donc interesse que nous listions ensemble les exactions et actions genereuses de l'eglise chretienne, (catholique ou reformee). Nous serons toujours a temps de tenter d'en tirer des conclusions. *** / *** |
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