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La traduction de Jacques Ghémard le jeudi 11 mai 2006 à 10h04

Il me semble que la traduction automatique de ce texte est, pour une fois, tout à fait adaptée. Elle donne le ton ...

Ma volonté politique.

Depuis que moi 1914 comme volontaire ma force modeste a commencé dans le premier, le royaume de aufge- guerre mondiale zwungenen, désormais plus de trente ans ont passé.

Ces trois décennies, lors de toute de ma pensée, action et vie seulement que l'amour et la fidélité m'ont déplacent à mon peuple. Ils m'ont donné la force pour saisir les résolutions les plus lourdes , tels qu'ils n'ont été placés jusqu'ici encore à aucun mortel. J'ai utilisé mon temps, de mei- ne main-d'oeuvre et ma santé ces trois décennies.

Il est faux que peut-être ou moi-même quelqu'un d'autres en Allemagne la guerre par an en 1939 vouloir. Il a été voulu et fonde exclusivement de ange- de ces hommes d'Etat internationaux qui soit étaient origine juive, soit ont travaillé pour des intérêts juifs. J'ai fait à limitation de préparation de trop d'offres de Ruestungsbeschraen- kung et que la postérité ne peut pas sur tous les Feigheiten wegzuleugnen, pour que la responsabilité de coupure de cette guerre puisse reposer sur moi. Je n'ai voulu plus encore jamais qu'après la première guerre mondiale unseligen, un deuxième naît contre l'Angleterre ou contre l'Amérique. Annuelle devient des centaines infractions, mais des ruines de nos villes et monuments classés la haine se renouvellera à nouveau de ge- vers en fin de compte le peuple responsable de dans mer qui nous avons le tout à de verdan- ken : le judaïsme international et ses aides.

J'ai proposé encore trois jours avant la manifestation de la guerre germano-polonaise à d'offre britannique de schafter à Berlin une solution de deutsch-polni- de problèmes schen - de façon semblable dans le cas du Sarre-secteur sous le contrôle international. Cette offre ne peut également pas être niée de loin. Il est seulement devenu rejeté, parce que les milieux décisifs ont souhaité d'étroit une politique lischen la guerre, partiellement des affaires espérées à cause, partiellement entraîné par d'une, par le judaïsme international propagande organisée.

Je n'ai pas laissé aussi de doute sur le fait que, lorsque les peuples d'Europe ne sont considérés encore que comme lots d'actions de ces finanzverschwoerer financiers et d'argent internationaux ce peuple avec à la responsabilité sera également tiré qui l'en réalité coupable ce à de moer- est anneaux derischen : Le judaïsme ! Je n'en ai laissé ter aucun à de wei- dans le peu clair sur le fait que ceux deviennent un SES marque de non seulement millions d'enfants d'Européens des peuples arischen verhungern, pas bombardiert pas seulement millions d'hommes adultes le décès souffrir et pas seulement centaines de milliers brûlé à des femmes et à des enfants dans les villes et à un décès devenir pourraient, sans que de Schuldi- doive payer en réalité même si ge, par des moyens humanere, sa dette.

Après une lutte de six ans qui une fois dans l'histoire malgré tous les reculs de renommée l'énoncé le plus plein et le plus courageux de la volonté de vie d'un peuple accepter , ne peut pas moi pas de la ville se séparer qui est la capitale de ce royaume. Puisque les forces sont trop faibles, pour résister justement ici encore plus longtemps de feindli- l'attaque chen qui est toutefois progressivement annulée propre résistance par des sujets aussi verblendete que charakterlose, je voudrais diviser mon de chic sal avec celui, les millions d'autres en lui aussi avoir pris, en restant dans cette ville. En outre, je ne veux pas tomber ennemis dans les mains, nécessiter au Erlustigung son de verhetz- les RTE masses nouveau de regard jeu arrangé par les juifs.

J'ai eu me suis donc décidé à rester à Berlin et là à choisir le décès des morceaux libres dans l'instant , dans lequel je crois que le siège du chef et du chancelier lui-même ne peut plus être tenu. Je meurs à la maison avec le coeur joyeux des NU qui me est consciente d'actes et performances ermesslichen de nos soldats à l'avant, de nos femmes, de Leistun- nos agriculteurs et travailleurs et de Ge- stratifie un engagement unique de notre jeunesse qui porte mon nom.

Que je leur exprime tout mon remerciement venant du coeur le plus profond, aussi évidemment que mon désir qu'ils peuvent abandonner par conséquent la lutte à aucun prix, est mais, tout à fait là où, contre les ennemis de la patrie le reprend, getreu les confessions grande Claus-plaisanterie. De la victime de nos soldats et de ma propre solidarité avec eux dans au décès, dans l'histoire allemande la semence s'ouvrira ainsi ou, si une fois à nouveau à une communauté de peuple vraie renaissance rayonnant au mouvement national-socialiste et donc à la réalisation.

Beaucoup d'hommes et femmes les plus courageux se sont décidés à lier pour la dernière fois dessus leur vie au mon . Je lui ai demandé et ai enfin instruit de ne pas leur faire cela , mais de participer à l'autre lutte de la nation. Je demande aux chefs des armées, de la marine et de la force aérienne de renforcer le sens national-socialiste en référence particulière au fait avec des moyens extrêmes l'esprit de résistance de unse- rer soldats dans qu'aussi moi -même, quand le fondateur et le créateur de ce mouvement, ont préféré le décès à des figues écouler ou un
Kapitulation.

Il peut faire partie dereinst de la notion d'honneur de l'agent allemand - comme cela dans notre marine le cas est déjà - que la transmission d'un paysage ou est impossible à une ville et que surtout les chefs doivent précéder ici avec un exemple brillant en réalisation de devoir le plus fidèle dans au décès.

deuxième partie de la volonté politique.

Je production avant mon décès l'ancien maréchal de royaume Hermann g UO r i n g du parti et lui extrait tous les droits qui pourraient ressortir du décret du 29 juin 1941 ainsi que de mei- ner explication de jour de royaume du 1er septembre 1939.
Je nomme commandant au lieu de cela l'amiral grand d UO n i t z à de Reichspraesiden- RTE et colonel des forces armées.

Je production avant mon décès l'anciens Reichsfuehrer-SS et ministre de royaume de l'intérieur, Heinrich h i m m l e r du parti ainsi que de tous les bureaux d'État. Je nomme la place être ner le directeur de région Charles h a n k e au Reichsfuehrer-SS et au chef de la police allemande et au directeur de région Paul g i e s l e r à de royaume ministre de l'intérieur.

Des Goering et des Himmler ont les actions avec l'ennemi qui l'ont tenue mon de WIS sen et contre ma volonté, ainsi que par la tentative, contrairement à la loi, le pouvoir secret déchirer à État en soi , au pays et au peuple total dommages imprévisibles provoqué, complètement outre le treulosigkeit par rapport à ma personne.

Pour donner un gouvernement composé des hommes honorables au peuple allemand qui réalise l'obligation de continuer plus loin la guerre avec tous les moyens, je que le chef de la nation nomme les membres du nouveau cabinet suivants :

Président de royaume : D UO n i t z
chancelier de royaume : Dr. g o e b b e l s
ministre de parti : B o r m a n n
ministre des relations extérieures : S e y s - I n q u a r t
ministre de l'Intérieur : Gauleiter G i e s l e r
ministre de guerre : D o n i t z
commandant supérieur de l'armée : S c h o r n e r
commandant supérieur de la marine de guerre : D o n i t z
commandant supérieur de la force aérienne : G r e i m
Reichsfuehrer-SS et chef de la police allemande : Gauleiter H a n k e
économie : F u n k
agriculture : B a c k e
justice : T h i e r a c k
Kultus : Dr. s c h e e l
Propagande : Dr. n a u m a n n
finances : S c h w e r i n - c r o s s i g k
travail : Dr. h u p f a u e r
préparation : S a u r
directeurs de l'avant de travail allemand et membre du cabinet de royaume : Ministre de royaume Dr. l e y.

Bien que me disparaître ici, je doive quand même demander à
un nombre de ces hommes, comme Martin Bormann, Dr. Goebbels etc. vouloir trouver y compris leurs femmes, d'une volonté libre de moi et vouloir à aucun prix la capitale du royaume quitter, mais être prêt, avec moi lui d'obéir ma demande et de placer l'intérêt dans ce cas à la nation sur son propre sentiment . Par leur travail et leur fidélité comme véhicules après le décès il sera proche aussi me, comme je l'espère que mon esprit parmi eux ondulera et vous accompagnera toujours elle. Si ils peuvent être durs, toutefois injustement jamais, ne pouvoir DE la crainte au conseiller de leur action élever surtout jamais et l'honneur à la nation sur tout placer ce qu'il y a sur relier. Ils peuvent enfin être conscients de cela que notre tâche, du développement d'un État national-socialiste représente le travail de prochains siècles, chaque particulier oblige, toujours qui commune intérêt servir et sa propre avantages par rapport à de le retarder. J'exige de tous les socialistes nationaux, hommes allemands et tous les et de femmes et de tous les soldats des forces armées qu'ils seront fidèles et obéissants le nouveau gouvernement et son président dans au décès.

Surtout j'oblige la conduite de la nation et le Gefolgschaft à de attitude pénible des lois de course et à la résistance impitoyable au Weltvergifter de tous les peuples, judaïsme international.

donné à Berlin, le 29 avril 1945, de 4.00 heures.
Adolf Hitler

en tant que témoin : Dr Joseph Goebbels Wilhelm Burgdorf Martin Bormann Hans cancer

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