le Glossaire de Francis a trouvé : - | Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Les accusations de Constans junior de Serge Desbois le dimanche 15 janvier 2006 à 08h08Les qualificatifs ; "fuyard, ambitieux, faible de caractère" à l'encontre de son père n'ont pas été prononcés. J'en viens à me demander si c'est bien le fils Louis, 71 ans, professeur de droit, ancien président d'université, auteur de nombreuses publications en France et à l'étranger qui a écrit ce livre. Il y a comme un hiatus entre ce livre médiocre et le passé de son auteur présumé.
C'est alors que je me souviens d'une phrase prononcée par sa sœur, madame de B., elle-même fille du colonel Constans, qui s'est présentée, à mon stand lors du salon des écrivains combattants au Sénat en 2004.Elle m'a dit à peu près ceci, qui sur le coup n'a pas trop attiré mon attention : « nous avons rassemblé des documents pour un historien qui va rédiger un livre… »
Ainsi s'expliquerait que ce livre soit un pamphlet maladroit contre tous ceux qui depuis un demi-siècle, ont eu à écrire sur cette affaire, et qu'il est difficile d'attribuer à un professeur de droit émérite d'une université française.
Ce qui est amusant dans ce document est l’usage de ces qualificatifs désobligeants ( le terme fuyard et les autres), envers le colonel Constans qui pour la plupart n’ont jamais été prononcés tel quel par les différents auteurs. Tout se passe comme s’ils étaient venus naturellement à la bouche de l’auteur de ce livre au fur et à mesure qu’il prenait connaissance des faits historiques en en rajoutant ainsi sur ce qu’ont dit les uns et les autres.
En tout cas Constant ne pouvait être « un fuyard par peur » car n’oublions pas que le 18 octobre 1950 quand il a abandonné Langson, il était encore bien entouré : en plus des 1500 rescapés des 2 colonnes il y avait encore autour de lui de nombreuses unités dont un bataillon du 5ème Étranger, un autre d’un régiment d’infanterie coloniale. Finalement ce livre va consacrer le terme « Fuyard » non usité jusqu’ici. Plus maladroit, c’est difficile ! *** / *** |