le Glossaire de Francis a trouvé : Livres de Guerre - LDG - Divers |
- | LdG? Mais vous y êtes! C'est "Livres de Guerre"!
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Dans ce texte : C'est la manifestation d'une attitude généreuse et le signe... de René CLAUDE le mardi 14 janvier 2003 à 21h53... d'une réelle ouverture d'esprit. On oublie parfois - moi le premier - que c'est grâce à des bouquins comme celui de Gilles Perrault que notre curiosité pour la seconde guerre mondiale a été éveillée et nourrie à la fin de l'enfance... C'est aussi une des idées-force à l'origine de Livres de Guerre: tout support, fut-il considéré comme "mineur", peut susciter une passion véritable. A 10-15 ans, on est plus réceptif aux livres qui contiennent de bonnes illustrations, des descriptions d'opérations vivantes et des dialogues reconstitués dans un style accrocheur que des essais pointus ou des bios bourrées de notes qui nécessitent un background conséquent.
Alors, Perrault, Ryan, Burgess ("sept hommes à l'aube") Lacaze, ("Le Tunnel" que j'avais emprunté à mon père), Plievier ou encore Delarue et son "Histoire de la Gestapo, même s'ils sont légitimement discutés aujourd'hui, sont des livres qui comptent dans la formation d'un futur passionné, amateur ou pro. La fiction n'est pas non plus à négliger :
un roman comme "Drôle de Jeu" de Roger Vailland m'avait fait comprendre que la vie quotidienne des résistants était bien éloignée de la mythologie nous présentant encore dans les années 60 les clandestins comme autant de héros justes et purs qui faisaient sauter des casernes et dérailler des trains durant les 4 ans de l'Occupation !
Une fois les années d'initiation passées, on recherche des lectures plus complexes, moins ramancées, on affine son champ d'études, on se spécialise, mais je crois qu'il ne faut pas renier ces premières lectures.
Amicalement,
René Claude *** / *** |