 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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CNR - Conseil National de la Résistance - Résistance (France) |
- | Créé par de Gaulle le 27 mai 1943, le C.N.R. rassemble groupements de la résistance, formations politiques résistantes et syndicats ouvriers, chargé pour la France occupée, de former un parlement de la Résistance. Jean Moulin en assume la présidence jusqu'à son arrestation à Caluire le 21 juin 1943. Il sera remplacé par Georges Bidault.
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Dans ce texte :Le travail de M.KAUFFER est remarquable car l'omerta existe dans notre communauté des français d'Afrique du Nord.
Il a obtenu des renseignements qui vont mettre les chercheurs sur des voies précieuses.
Je regrette simplement de n'avoir pas été contacté car son livre aurait été complété utilement.
Le Comte de Charbonnières a été l'un des créateurs du CNR. Il était le rédacteur en chef du Charivari. Il a écrit un ouvrage : "Toujours et quand même" qui ouvre des pistes. Il est rare mais j'en détiens un exmplaire.
Louis de Charbonnières est arrivé à Alger à la demande de mon père pour rencontrer le Général SALAN afin de dire exactement au chef militaire ce qui se tramait.
M. de Charbonnières résidait dans l'appartement de mon père sur le Front de Mer.
Le soir de l'enlèvement de Michel LEROY (le 19/01/1962), les deux hommes se sont posés des questions car ils s'attendaient à une menace de la part de LEROY mais pas de Susini.
Mon père avait, en effet,refusé de s'associer à l'idée de partition telle qu'elle était présentée par Sarradet et Leroy.
Mon père s'est donc rendu, sans méfiance particulière, au rendez-vous fixé par le Capitaine LE PIVAIN à Maison Carrée. Il ne savait pas que LEROY venait d'être abattu par DEGUELDRE.
Il n'a pas pensé un seul instant qu'un officier français pourrait abattre ses compagnons de combat.
Ce qu'il ne savait pas, c'est que DEGUELDRE et LE PIVAIN avaient été conditionnés par SUSINI.
A aucun moment le Général SALAN, le Général JOUHAUD ou le général GARDY n'ont donné l'ordre d'éxécution des 23 personnes figurant sur la liste de SUSINI.
La prochaine victime devait être Fernand SCHEMBRE qui a échappé au fusil d'ACHARD puis SCHAMBILL et PARACHINI, puis ENCISO.
Le plan Béquilles de Sarradet a permis à SUSINI d'éliminer tous les responsables proches des militaires qui refusaient certaines de ses théses. Il voulait devenir le maître d'Alger, le seul interlocuteur de la France et du FLN.
La mort du Capitaine LE PIVAIN n'est imputable à aucune des veuves comme le signale COURIERRE dans son ouvrage monumental sur la guerre d'Algérie.
Les services français connaissent parfaitement le nom de celui qui a donné le plan de circulation du Capitaine. Il appartenait à l'OAS.
Je reviendrai vers vous dans quelques jours avec plus de précisions. *** / *** |
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