le Glossaire de Francis a trouvé : - | Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.
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Dien Bien Phu - DBP - Indochine |
- | Nom donné à l'ensemble colonial français à la péninsule qui comprenait les trois ky (provinces) viêtnamiens: la Cochinchine (au sud), l'Annam (au centre) et le Tonkin (au nord) ainsi que le Cambodge et le Laos.
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- | Le terme "Indochine" apparaît pour la premiere fois vers 1813 et regroupe le Tonkin, l'Annam, la Cochinchine, le Laos, le Cambodge.
Le terme s'écrit de trois façons: Indo Chine, Indo-chine ou Indochine. Le terme n'existe plus après le départ des Francais.
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- | Le mot Vietnam (le sud des Viet) désignait le royaume qui s'étendait au XIXe siècle de la porte de Chine à la pointe de Ca Mau. C'est ainsi que l'empereur Gia Long avait baptisé son pays. Les monarques qui le précédèrent l'appelaient Dai Viet (le grand Viet). Ming Mang, qui succéda à Gia Long en 1820, renomma le pays Dai Nam (le grand sud), mais cette appellation n'arriva pas à supplanter la précédente dans l'usage courant. Les Français utilisèrent le mot An Nam (sud pacifié) que les Chinois employaient couramment pour rappeler que "pendant mille ans, le Nan Yue (Nan Viet ou Viet du sud) fut une marche méridionale du Céleste empire". En reprenant cette appellation, les Français signifiaient qu'ils succédaient au "suzerain" précédent, d'autant que le roi Tu Duc avait fait appel à l'empereur de Chine contre les Français. Les nouveaux maîtres firent plus en réduisant le royaume d'Annam à la portion congrue: la partie centrale du royaume. Le nord et le sud, baptisés respectivement Tonkin et Cochinchine, furent soustraits à l'autorité (toute théorique) du monarque "protégé".
(Définition de Pierre Brocheux extraite du livre de Marc Ferro: "Le livre noir du colonialisme"). (LB)
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- | Route coloniale n°4 qui longe la frontière chinoise et qui fut le témoin de combats meurtriers.
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Dans ce texte : ca y est, ca recommance...ou de la difficulte de l'autocritique de Laurent Boussaton le jeudi 31 mars 2005 à 09h14
bonjour
que les politiques de la
IV°republique n'aient pas ete capable de definir une politique claire, des buts
de guerre, en indochine...c'est une evidence.
mais auraient-ils ete capable
d'empecher l'installation et les combats a dien bien phu et je ne parle pas du
desastre de la RC4 ?...j'en doute.
il est vrai qu'en refusant
l'independance au vietnam des 1946 le reste n'a ete qu'une fuite en
avant.
mais 100 000, 200 000, 300 000,
etc...hommes de plus auraient ils pu empecher une defaite militaire ?...rien
n'est moins sur. les finances francaises, comme la si bien dit francis etaient
au plus bas; les americains en financant la majeur partie de l'effort de guerre
prenant logiquement la suite.
mais il a fallu un evenement
malheureux pour enfin accepter de regarder la realite en face. traiter avec
"l'ennemi", le vietminh, et se retirer sur la pointe des pieds.
mais il est vrai
que l'exasperation des passions autour de cette periode pendant pres de
cinquante ans qui heureusement s'est attenue, n'a rendu que plus difficile une
etude sereine de la guerre d'indochine. aujourdhui tout cela semble oublie et
c'est tant mieux...pourtant
cordialement
laurent *** / *** |