 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Témoignage intéressant mais ... de Jacques Ghémard le jeudi 21 octobre 2004 à 16h29
Bonjour et merci pour le lien vers cette page qui propose un témoignage intéressant. Je ne sais pas si l'histoire de ces fusillés est connue.
Pour le reste de la page, je laisse à son auteur la responsabilité de son point de vue. je relève par exemple ceci :
Avec une inconscience totale ces deux avisos sont entrés dans les bassins du port ou ils ont été canonnés à bout portant. Ils ont sauté sous nos yeux, un aviso américain a sauté dans le port d’Oran et!
Cette attaque stupide de ces deux bateaux s’est terminée par la mort de nombreux marins mais aussi de leur chef dont l’histoire dit qu’il a eu de la chance de mourir là car ils serait passé en conseil de guerre s’il avait survécu.
Ma récente lecture des livres de Patrick O'Brian d'ou a été tiré le film "Master and commander" me permet de dire que le commandant d'un navire britannique passait systématiquement en "conseil de guerre" lorsqu'il y avait eu perte de son bâtiment. Mais les pendaisons étaient rares et ils pouvait aussi bien ressortir avec les félicitations du conseil. Donc je ne pense pas qu'il ait des remerciements à présenter pour sa mort dans l'explosion de son navire. Sa seule stupidité ayant peut être été une trop grande confiance dans le bon sens des Français.
Lorsque les soldat sortis de l’eau ont été recueillis par les nôtres leur question était : ou sont les allemands !
En principe, on n'indique pas sa réelle destination à la troupe et s'ils cherchaient "les Allemands" ce n'est peut être pas parce qu'on leur avait "bourré le mou" mais parce qu'ils n'avaient jamais pensé avoir à combattre des Français.
Bref, je trouve que les morts de 1942 sont justifiées de façon un peu "bebette", qu'il n'a pas cherché les vrais raisons de celles de juillet 40 et qu'il n'a tiré aucune conclusion de ces exécutions, là, devant ses jeunes yeux.
Amicalement
Jacques *** / *** |
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