 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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- | Nom de l'armée allemande de 1919 à 1935. Reichswehr signifie littéralement "Défense du Reich". Dans les limites imposées par le Traité de Versailles, la Reichswehr ne pouvait compter plus de 100.000 hommes dans l'armée de terre et 25.000 dans la marine. Lorsque Hitler, en 1935, décida de la réarmer, la Reichswehr pris le nom de "Wehrmacht" (voir ce terme).
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Dans ce texte : L'esprit de Tauroggen ? de Nicolas Bernard le mercredi 13 octobre 2004 à 10h48
> Une hypothèse :
> Dans les années 20 et 30 (avant les grandes purges
> staliniennes), des officiers de la Reichswehr "noire"
> (clandestine) eurent des liens réguliers avec des
> officiers de l'Armée rouge. Pour contourner les clauses
> très restrictives du Traité de Versailles, les Allemands
> s'entraînaient en URSS - autre nation réprouvée de
> l'Europe - et collaboraient techniquement avec leurs
> homologues de l'Armée rouge. Est-il possible d'envisager
> le retournement d'officiers allemands par les soviétiques
> afin de créer des "réseaux en sommeil" dans l'armée
> allemande et d'autres institutions et ministères qui
> pourraient être activés en temps de guerre ?
C'est ce que supposent, à quelques variantes, les journalistes Pierre Accoce et Pierre Quet dans "La Guerre a été gagnée en Suisse". De tels recrutements ont probablement eu lieu, mais avec quel succès et dans quelle étendue, je ne sais. Schulze-Boyzen, par exemple, milite comme communiste dès 1933, aurait livré des premières informations en 1936, mais ce n'est qu'en 1941 que le GRU l'a recruté pour constituer son propre réseau... *** / *** |
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