 La description du sujet
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§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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SR - Service de Renseignements - France libre |
- | Créé et dirigé par le colonel Passy, le SR deviendra le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire), précurseur du BCRA.
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SR - Parti socialiste révolutionnaire - Union soviétique |
- | Parti socialiste révolutionnaire. Créé en 1902, le Parti socialiste révolutionnaire se réclame des traditions populistes du mouvement révolutionnaire russe. Plus proche du monde paysan que du monde ouvrier, le SR entrera en conflit avec le parti de Lénine.
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SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
- | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
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Dans ce texte : Passion et naïveté de Roger Masson de René CLAUDE le lundi 28 juin 2004 à 10h07
Bonjour,
Les contacts de Roger Masson avec Schellenberg durant la guerre lui causèrent des ennuis politico-administratifs une fois la paix retrouvée.
Willi Gautschi, biographe scrupuleux du Guisan des temps de guerre et le Dr. Lang, son ami, écrivent qu'il a agi plus par passion patriotique et par naïveté qu'à des fins personnelles, ce qui ne fut pas le cas de certains de ses subordonnés qui ont profité de la ligne Masson-Schellenberg pour effectuer des opérations financières à la limite de la légalité avec la SS et la Wehrmacht.
Le biographe écrit que grâce à ces contacts officieux avec les dignitaires nazis, Guisan put être informé des intentions du Reich envers la Confédération helvétique; les rapports secrets ne furent donc pas vains, mais l'ex-chef des SR le paya de sa place et il finit sa vie seul et amer avec une petite pension de l'Etat. Les politiques ne lui pardonnèrent pas ce contact pris à leur insu...
Cordialement,
RC *** / *** |
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