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Point d'appui - PA - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions

Régiment de mitrailleurs de l'infanterie coloniale - RMIC - France 1940 Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions

Bataillon de mitrailleurs motorisés - BMM - France 1940 Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions

Secteur fortifié - SF - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions

Poste de secours - PS - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Poste de secours à ne pas confondre avec un parti politique.


Région fortifiée - RF - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions

Division d'infanterie de forteresse - DIF - France 1940 Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions

Stammlager - Stalag - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Stalag, abréviation de "Stammlager" ou camp de base désigne les camps de prisonniers de guerre (hommes de troupes et sous-officiers)


Offizierenlager - Oflag - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Oflag, abréviation de Offizierlager, désigne les camps de prisonniers de guerre affectés aux officiers.
L'oflag IV B de la forteresse de Königstein, en Saxe, regroupa la plupart des généraux français prisonniers.


Direction de la Surveillance du Territoire - DST - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Son histoire, son organisation, ses missions... sur le site officiel du Ministère de l'Intérieur :
DST


Direction Générale de la Sécurité Extérieure - DGSE - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Parcours dans le dédale historique des services secrets de la République:


Service de Documentation Extérieure et du Contre-Espionnage - SDECE - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Parcours dans le dédale historique des services secrets de la République :


Direction Générale des Services Spéciaux - DGSS - France Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Née à Alger, en 1943, de la fusion du BCRA (Bureau Central de Renseignements et d'Action) et des Services Spéciaux du général Giraud.

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Parcours dans le dédale historique des services secrets de la République :


Ferdonnet (Paul) - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Le "traître de Stuttgart" est un fils d'instituteur né à Niort en 1901. C'est dans L'Action française qu'il signe ses premiers articles. Nommé correspondant à Berlin, il collabore à différents quotidiens français durant les années 30. Il publie alors des livres vantant les mérites du IIIe Reich et crée à Paris, puis à Berlin, l'agence de presse Prima et Prima Dienst. En septembre 1939, il choisit de rester à Berlin où il travaille pour le service des langues étrangères de la Reichsrundfunk. (radiodiffusion du Reich) En octobre 1939, le patronyme de celui qui est devenu le "traître de Stuttgart" est divulgué par la presse française.
Si son influence réelle a été beaucoup exagérée, durant la drôle de guerre ses émissions étaient suivies par les soldats, surtout par les mobilisés dans la ligne Maginot au point que le gouvernement dut lancer une contre-propagande afin de limiter l'effet des rumeurs et mensonges diffusés par le poste nazi.
Arrêté à la fin de la guerre, Ferdonnet est jugé, condamné à mort et fusillé en juillet 1945 pour trahison.


Centre de Recrutement de l'Armée Belge - CRAB - Belgique Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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En 1937, le gouvernement belge avait élaboré une loi constituant une "Réserve de recrutement" pour l'armée.
Figuraient dans cette réserve les hommes atteignant l'âge de 17 ans et qui, pour diverses raisons, n'avaient pas effectué leur service militaire. Le 14 mai 1940, tous les hommes de 16 à 35 ans reçoivent l'ordre de rejoindre les Centres de Recrutement éparpillés en France encore non occupée par les Allemands.


Troupes de Renfort et d'Instruction - TRI - Belgique Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Les réservistes de l'Armée belge qui en mai 1940 n'étaient pas encore mobilisés. Cet effectif de 95.000 hommes, dont 41.000 recrues de la Classe 1940, était constitué par un Centre de Renfort et d'Instruction (CRI) par Division d'Infanterie.


Centre de Renfort et d'Instruction - CRI - Belgique Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Les CRI étaient constitués de réservistes qui, en mai 1940, n'avaient pas encore été mobilisés.


hypercriticisme Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Ergotage et découpage de cheveux en quatre destinés à noyer le poisson.
Plus sérieusement !
- L'encyclopédie en ligne Wikipedia propose une excellente définition de la méthode hypercritique :
- Egalement le site phdn avec exemples à l'appui :


hypercritique Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Voir hypercriticisme.


Communauté Européenne de Défense - CED - Europe Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Le traité instituant la Communauté européenne de défense fut signé à Paris le 27 mai 1952. Les Etats membres (France, Allemagne fédérale, Italie et les trois pays du Benelux) s'engageaient à mettre sur pied une armée européenne capable de s'interposer entre les deux super-puissances dont les rivalités risquaient d'entraîner le monde dans un nouveau conflit. Dans l'esprit de ses initiateurs, la CED représentait un pas considérable dans la construction d'une fédération européenne.
La CED ne verra pas le jour. Le 30 août 1954, la France refuse de ratifier les accords.
En savoir plus ! Les textes du traité :


Unterscharführer - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "Unteroffizier" dans la Wehrmacht et approximativement de "Caporal" dans l'armée française


Brigadeführer - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "Generalmajor" dans la Wehrmacht et approximativement de "Général de brigade" dans l'armée française


Obergruppenführer - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "général" dans la Wehrmacht et approximativement de "Général d'armes" dans l'armée française


Oberstgruppenführer - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "Generaloberst" dans la Wehrmacht et approximativement de "Général d'armée" dans l'armée française.


Oberfürhrer - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS qui correspond approximativement au grade de "Commandant de brigade" dans l'armée française


Standartenführer - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "Oberst" dans la Wehrmacht et approximativement de "Colonel" dans l'armée française


Obersturmbannfüher - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "Oberstleutnant" dans la Wehrmacht et approximativement de "Lieutenant-colonel" dans l'armée française


Sturmbannfüher - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "Major" dans la Wehrmacht et approximativement de "Commandant" dans l'armée française


Hauptsturmführer - Allemagne nazie Rechercher cette entrée dans les sujets ou les contributions
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Grade chez les Waffen SS, équivalent de "Hauptmann" dans la Wehrmacht et approximativement de "Capitaine" dans l'armée française

 

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 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.06 s  2 requêtes