"On déplaçait les chefs vaincus, on ne les dénonçait pas, au nom de l'honneur de l'armée, concept POLITIQUE de la plus grande efficacité. On mettait les défaites sur le compte des hasards de la guerre, ou de la déficience partielle des unités. Sur le terrain, les sanctions étaient imaginables, pas au sommet."
Ces quelques lignes de l'introduction du livre de Pierre Miquel posent le problème de la responsabilité des massacres vains dans toute sa brutalité, un problème crucial auquel son étude apporte des réponses simples et terribles.
Amicalement,
René Claude