Ligne de Front n° 69 - Ligne de Front - forum "Livres de guerre"
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1900 / 2000 : un siècle de guerre terrestre : analyse, documents et témoignages
 
 
 
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Ligne de Front / Y. Kadari, V. Bernard (et alii)

 

Ligne de Front n° 69 de Francis Deleu le lundi 18 septembre 2017 à 21h07

+ Wunderwaffen ! - Les armes miracles que devaient faire triompher l'Allemagne
Les « armes miracles » de la Wehrmacht ne sont pas spécifiques à la période 1943-1945, car les Allemands ont imaginé, dès l’entre-deux-guerres, quantité de matériels démesurés censés leur donner l’avantage sur l’ennemi ou venir à bout d’un objectif identifié. Si la ligne « Maginot » figure bien entendu au cœur des préoccupations jusqu’en 1940, l’évolution de la guerre met à jour de nouveaux obstacles et problématiques auxquels les ingénieurs de l’armement travaillent à trouver des solutions afin de permettre au Reich de l’emporter. Gros plan sur ces « Wunderwaffen » qui devaient faire triompher l’Allemagne...
par Yann Mahé.
+ L’attaque aéroportée du pont de Vroenhoven - Les « diables verts » sur le canal Albert
Dès l’hiver 1939, la prise de plusieurs points stratégiques sur la Meuse s’impose aux stratèges allemands afin de leur garantir une invasion rapide de la Belgique – un État neutre – puis de la France. La Sturm-Abteilung « Koch », bataillon d’assaut composé des meilleures troupes parachutistes allemandes du moment, reçoit la mission de prendre quatre sites stratégiques sur le canal Albert : le fort d’Eben-Emael et les ponts de Veldwezelt, Vroenhoven et Kanne. La capture du pont de Vroenhoven, au centre du dispositif de l’attaque parachutiste en ce 10 mai 1940, reste pratiquement inconnue à ce jour, bien qu’elle compte parmi les tout premiers enveloppements verticaux réussis de l’histoire.
par Óscar González López, Thomas Steinke et Ian Tannahill.
+ A l’assaut de Brest-Litovsk - La chute de la forteresse de Staline
Le 16 juin 1941, le General der Infanterie Schroth (chef du XII. Armee-Korps) rédige une note classée secrète, destinée uniquement à ses officiers. Elle comporte les noms de code de l’invasion de l’Union soviétique. Le code « Belfort » stipule à la troupe de stopper sa progression et de se camoufler là où elle se trouve. « Dortmund » confirme que l’assaut pour le 22 juin 1941 au petit matin est désormais imminent. Le dernier code, « Kyffhäuser », donne le feu vert au lancement de la plus grande offensive terrestre de la Wehrmacht : l’opération « Barbarossa ». L’objectif attribué à Schroth est de conquérir la forteresse de Brest-Litovsk édifiée sur la frontière entre la Pologne et la Biélorussie.
par Didier Laugier.
+ Second to fight, first to die ? - L’US Army dans le Pacifique
Évoquer la guerre du Pacifique, c’est penser d’abord aux affrontements navals et aéronavals, aux cuirassés géants et au règne du porte-avions, à Pearl Harbor et à Midway, à Okinawa et aux attaques kamikazes. C’est aussi évoquer les Marines, les « nuques de cuir » lancées à la reconquête de Guadalcanal, de Tarawa ou d’Iwo Jima, sous la protection aérienne des Corsair bleu nuit de « Papy Boyington » et ses « moutons noirs » de la VMF-214 ou d’autres formations comparables. Il est vrai que la Navy et les Marines trouvent dans l’immensité océanique un théâtre à leur exacte mesure. Et pourtant, le fait est parfois ignoré ou tout au moins méconnu : l’US Army, l’armée de Terre, celle d’Eisenhower et de Patton, la même qui débarque en Normandie et contribue à la chute du III. Reich, joue un rôle essentiel dans la guerre du Pacifique, un rôle qui, pour paraître effacé, n’en est pas moins absolument central.
par Vincent Bernard.
+ Deutsches Orient-Korps - Le destin manqué du corps expéditionnaire allemand pour le Moyen-Orient
Dès 1914, des unités de Pioniere et un détachement médical tropical sont envoyés par le Kaiser Guillaume II dans la Sinaï et en Palestine pour soutenir la Sublime-Porte, entrée en guerre aux côtés des Empires centraux. Il s’agit alors des premiers éléments de ce qui deviendra, en janvier 1915, l’Asien-Korps (ou Levante-Korps), lequel comprendra jusqu’à 16 000 soldats allemands de toutes les Armes combattant avec leurs alliés ottomans. Alors que l’Empire ottoman a été démantelé et partagé sous la forme de mandats entre les vainqueurs de la Grande Guerre, et que le nationalisme arabe fait naître de vives oppositions aux nouveaux maîtres français et britanniques (surtout en Syrie, en Irak et en Palestine), l’Allemagne nazie avance ses pions au Moyen-Orient en profitant des sentiments anticolonialistes et antisionistes.
par Yann Mahé.

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