| | | | La description du livre
| | LOS ! / Collectif Au sommaire du n° 28 de Francis Deleu le mercredi 02 novembre 2016 à 12h55Kriegsmarine / 1942-43Scharnhorst - Le guerrier du nordMer de Barents, 26 décembre 1943. Les radaristes du cuirassé Duke of York constatent que la distance qui les sépare du Scharnhorst diminue enfin. Vers 18h00, un obus de 356 mm détonne dans la rue de chauffe n° 1 de ce dernier. Quatre chaudières sont stoppées, et des voies d’eau inondent le parquet des chaudières. La vitesse chute à 8 nœuds, puis remonte lentement à 20‑22 nœuds, mais les Anglais se rapprochent… Le cuirassé britannique abat sur bâbord et remet le cap sur son adversaire. Désormais, le « Duke » marche aussi vite que le Scharnhorst. Le sort de ce dernier est scellé... Croiseur de bataille / 1914A la poursuite du Goeben - Traque en méditerranéeAu début de la Grande Guerre, La situation navale en méditerranée est relativement confuse. L’entente y aligne de fortes escadres, mais doit éparpiller ses unités Pour couvrir l ’ensemble de cette mer fermée. Elle reste aussi dans l ’attente du positionnement italien, dont la neutralité n’est pas acquise. Aussi, quand un croiseur de bataille aLLemand effectue une violente démonstration de force contre des ports algériens, français et britanniques mettent en branle tous leurs moyens de défense pour lui donner la chasse. Guerre froide / URSS / 1945-94Les SSG et SSGN soviétiques - Sous-marins, missiles de croisière et antinaviresAux côtés de ses sous-marins d’attaque et de ceux dédiés à la dissuasion nucléaire et stratégique, la flotte rouge aligne, à partir de 1953, des modèles lanceurs de missiles de croisière, puis de missiles antinavires. Les défis technologiques sont nombreux et coûteux, mais cette typologie de bâtiments est jugée indispensable par les experts soviétiques pour faire face aux groupes aéronavals de l’OTAN. L’URSS dépensera alors sans compter pour concevoir des sous-marins et des missiles de plus en plus perfectionnés et spécialisés. Technique / Allemagne / 1939-41L’artillerie principale au feu - Le guide du parfait officier canonnierDurant le second conflit mondial, le navire de ligne est à son zénith. Sa raison d’être reste son armement principal, alors à l’apogée de son évolution et de sa modernité ; ses performances, calibres, capacités de destruction et de précision sont sans précédents. Sa mise en œuvre comme celle de ses corollaires, la conduite de tir notamment, représente un déploiement technique considérable, engageant une chaîne de systèmes parmi les plus sophistiqués de l’époque, liés à de nombreux automatismes et servis par des spécialistes hautement qualifiés. Renseignement / France-Italie/ 1908-43Guerre des codes italo-française - Une Histoire méconnueIl existe deux types de services secrets : ceux qui racontent leurs propres exploits (le plus souvent pour brouiller les pistes), et ceux qui respectent la règle du silence. Les Services d’Information français et italien appartiennent depuis toujours à cette dernière catégorie. Dans le domaine du décryptage des codes et des chiffres ennemis, la seule règle qui vaille est celle de l’étude des documents originaux et contemporains des faits étudiés, et non pas celle qui se fonde sur les souvenirs, sur les « on‑dit » ou, pire encore, sur les comptes-rendus d’après-guerre. ActualitéLe Barracuda australien de DCNS
+ Un navire espion chinois en eaux japonaises
+ L'US NAVY salue l'action du Charles de GaulleLe 26 avril dernier, le Premier ministre australien Malcolm Turnbull annonçait que DCNS avait été choisi pour produire la future classe de sous-marins de la Royal Australian Navy (RAN). Le contrat du siècle pour le constructeur français qui proposait le SMX-Ocean / Shortfin Barracuda, un bâtiment anaérobie de nouvelle génération.
Retour sur d’intenses tractations. LexiqueBranle-Bas & BatayolePoursuivons notre mini-revue de termes et expressions spécifiques aux gens de mer, dont la richesse et la logique – quoi qu’on en dise – n’ont d’égales qu’un certain manque de clarté confondant le néophyte, mais parfois aussi celui qui l’est moins... |
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