Triple paradoxe français de Randolf le mercredi 09 septembre 2015 à 10h39
Le triple paradoxe évoqué tient, je crois, à la rupture brutale l'un (Doriot) avec le communisme, l'autre (Déat) avec le socialisme alors que tous deux avaient l'espoir et de grandes chances de prendre la tête de leur parti respectif. Ils ont donc brûlé ce qu'ils avaient adoré. Autre paradoxe, italien cette fois, l'ex-socialiste Mussolini