Conjuration des officiers, épilogue - La Suisse et la guerre 1933 - 1945 - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre


Et les autres livres cités


La description de ce livre


Edition du 06 mars 2015 à 14h37

La Suisse et la guerre 1933 - 1945 / Werner Rings

 

Conjuration des officiers, épilogue de Christian Favre le samedi 14 février 2015 à 05h51

Werner Rings:A la fin du chapitre Une mutinerie à la p. 215 de son livre La Suisse et la guerre on lit :

Hausamann qui était consigné dans une chambre d’hôtel à Lucerne et gardé rigoureusement, réussit à faire parvenir au Général un rapport exposant la réalité des faits.
En même temps il faisait savoir au juge d’instruction qu’il maintenait sa décision de refuser l’obéissance à toute autorité prête à capituler.
Il y eut des interrogatoires et des enquêtes de la justice militaire. Des hommes politiques influents comme Oeri et Feldmann n’hésitèrent pas à intervenir en faveur des conjurés. Et le chef d’état major général ne semblait pas mal disposé envers eux.
Mais on ne pouvait pas oublier que les éléments constitutifs de la mutinerie étaient réalisés. Libérés après plusieurs semaines de détention préventive, les chefs du mouvement s’attendaient à l’ouverture de poursuites judiciaires et à leur condamnation inévitable par un tribunal de division. Ils devaient compter devoir purger plusieurs années de réclusion.
Les choses n’allèrent cependant pas aussi loin.
Le Général désira recevoir les conjurés, d’abord les chefs, ensuite les autres.
Il salua les officiers « avec une cordialité à peine dissimulée » et se comporta comme s’il était de leur côté. Ils auraient été dans leur bon droit, leur dit-il, s’ils avaient refusé l’obéissance ; ils auraient alors rempli leur devoir de soldat.
Il annonça ensuite qu’il avait déjà ordonné de mettre fin à la poursuite judiciaire pour mutinerie.

Le Général, déclara plus tard Hausamann, a trouvé les paroles qui nous ont liés indissolublement à lui



Jon Kimche affirme pour sa part que le bureau Ha (Hausamann) était sous le commandement direct de Guisan. C'est important de le dire car cela signifie donc que la décision de transmettre les renseignements au réseau soviétique, qui passaient par le bureau Ha, a été une décision uniquement de Guisan. Bien entendu en relation avec Anglais et Américains. Donc seul Guisan a pris la responsabilité, personne d'autre.

Ou alors Qui ? En tout cas pas Hausamann

*** / ***

lue 1894 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes