Cette partie là est à oublier tant le désir de Benoît de "faire original" l'a amené à écrire n'importe quoi.
d'une manière générale, ce livre est une synthèse de lectures de l'auteur, et souffre d'un vrai pb de relecture, de structure et surtout de sources primaires absentes.
Voir ici :
Ayant toujours tendance par tempérament à voir "le verre à moitié plein", je suis heureux qu'un éditeur comme Tallandier publie un livre de 600 pages sur mon sujet de passion...
Pour autant, l'ouvrage magistral, complet et pertinent reste encore à écrire.
Mais libre à chacun de se faire sa propre opinion.
CM