J'ai eu l'impression auparavant que vous me sembliez prêt à admettre que Lucie ait pu offrir 50 000 à Floreck, mais vous me semblez ne pas pouvoir l'admettre au "diable" Barbie (c'était le sens que je donnais à la barrière que vous me sembliez placer entre l'un et l'autre).
Après tout elle semble n'avoir pas hésité non plus à offrir alcool et cigares à un autre allemand.
Mais en quoi sont-ils si différents ?
Barbie, aux yeux de Lucie, ne se distinguait pas de Floreck. Il n'était pas encore le "boucher de Lyon", ni le tortionnaire de Moulin.
Qu'il n'y ait rien d'autres que la parole de De Graaf (un peu mythomane) et le maintien non explicable de RA à Lyon et rien du côté de LA dans le débriefing anglais, n'interdit pas de poser la question.
Je vous l'ai déjà dit je crois. Je ne vois pas en quoi cela aurait posé problème que LA paye Barbie. ET donc que Cordier pose la question. Les mots que vous utilisez à son endroit ((à vomir) en l'absence de preuve ou même d'indices de son intention de nuire ne me semblent guère mieux fondés que son scepticisme sur ce couple héroïque (je vous l'accorde) |