Cette critique me rappelle tout à fait la recension du livre d'Eric Kerjean sur Canaris par Pierre Jardin :
. On essaye d'invalider un ensemble à partir d'un détail qui, précisément, ne met pas l'ensemble en cause.
Avant ce livre l'idée que l'armistice était inévitable tendait à devenir l'objet d'un consensus mou, et il a fort heureusement contribué à inverser la tendance, en montrant tous les atouts qui restaient et en expliquant avec réalisme ce qu'on pouvait en faire.
Je suis moins enthousiasmé par le tome 2, pour des raisons que j'explique et qui rejoignent en partie tes critiques sur l'évolution prêtée au mouvement communiste :
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