... ou plutôt, j'ai acheté son Aubrac, Lyon 1943, quand j'ai appris qu'il risquait d'être interdit, question de principe. Et pourtant, je n'avais que réprobation sur le coup éditorial basé sur l'insinuation et la mise en cause de personnes vivantes.
La caluirologie ne m'intéresse guère, mais les Aubrac m'intéressent parfois. Je les admire pour ce qu'ils ont d'obscur.
Je ne me souviens plus en quoi Chauvy prétendait faire avancer la caluirologie, mais je sais que que c'est dans le livre de Chauvy que je peux trouver le mémoire de Barbie qu'il fallait bien d'une façon ou d'une autre, porter à la connaissance du public. Il fallait bien que les Aubrac puissent se défendre. Si Chauvy n'avait pas existé, il aurait fallu l'inventer.
Emmanuel |