L'article de Sean Wilder a un inconvénient, bien mis en lumière par ce débat sur Passion-histoire :
il prend au pied de la lettre, comme un fait prouvé, la cure hypnotique racontée dans le roman de Weiss. Je suis, pour ma part, plus prudent : autant il est sot et aventureux de prétendre qu'elle est purement imaginaire, autant on ne peut délimiter les parts exactes du dossier de Forster et de la création romanesque.