Les Déat. Leur conversion selon Mme Déat - Mémoires Politiques - forum "Livres de guerre"
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Mémoires Politiques / Marcel Déat

En réponse à
-1Marcel Déat : Fuite de Sigmaringen vers l’Italie. de Serge Desbois

Les Déat. Leur conversion selon Mme Déat de Serge Desbois le jeudi 06 octobre 2011 à 08h05

Jusqu’à une date avancé, les Déat ont réussi à cacher leur véritable identité. De planque en planque, arrivés définitivement à Turin le 20 avril 1947, ils ont pu dissimuler qui ils étaient.

Seul un nommé Gaucher, collabo, qui s’embarquait pour l’Argentine de Gènes, les avaient reconnus de même que plus tard à Turin, un ancien journaliste parlementaire, car les Déat avaient besoin de sortir pour donner des cours de français avec lesquels ils vivaient chichement.

Il faut dire que les services secrets français cherchaient traitres et collabos avec d’autant moins de vigueur que l’on s’éloignait de l’époque de la Libération, absorbés qu’ils étaient, par la guerre froide.

Les Déat avaient déclaré s’appeler Joseph Leroux et Hélène Buridan. Les autorités religieuses ignoraient qui ils étaient ou feignaient d’ignorer.

Ayant reçu de Rome l’autorisation de la « Sacré Congrégation des Pénitents », Ils furent unis religieusement le 11 juin 1948 dans la petite chapelle du 21 Via Pomba, porte close, et sans témoins au grand ravissement de Mme Déat qui était très pieuse.

Agenouillée pour recevoir la communion, Mme Déat regretta que son mari ne la reçoive pas car dit-elle, il n’était pas encore prêt…

Pendant ce temps, Déat noircit du papier pour écrire ses mémoires qui ont couvert 1000 pages, sans sa machine à écrire abandonnée dans le Haut-Adige.

À partir du 4 février 1954, la mère supérieure lui donne l’autorisation de dormir avec sa femme au 21, car sa santé est très médiocre et frappé par la Tuberculose, il s’éteint de le 5 janvier 55 à l’age de 61 ans

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 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes