Bonsoir,
Mara Tchernycheff !
Voici sa photo. Pas mal ! écrit Serge ! La photo ou Mara Tchernycheff ? Les deux peut-être ?
Rassurons-nous ! En quatrième de couverture du livre :
(...) les "comtesses de la Gestapo", ces fleurs vénéneuses dont l'éclat fut peut-être fugitif mais le parfum assez capiteux pour nous troubler - et nous déranger - encore aujourd'hui.
Ouf ! L'honneur est sauf !
Par simple curiosité, j'ai vainement recherché d'autres belles photos des comtesses. J'ai simplement découvert que la princesse Mourousi, lesbienne et morphinomane, après quelques années de prison, finira sa carrière chez l'abbé Pierre, dans les dortoirs d'Emmaüs.
Enfin pour les amateurs de belles couvertures, celles des "
Comtesses de la Gestapo" dans une première édition.
Bien cordialement,
Francis.