Les archives vont par paire - Jean Jardin 1904-1976 Une éminence grise - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre

Jean Jardin 1904-1976 Une éminence grise / Pierre Assouline

En réponse à
-1Où sont les archives de J. Jardin ? de Serge Desbois

Les archives vont par paire de Serge Desbois le lundi 24 janvier 2011 à 14h58

Il y a les archives dans lesquelles il y a des notes ou documents qui sont diffusés par l’intéressé. Lorsqu’il regrette de les avoir diffusés, il peut les détruire. Si ses descendants jugent qu’elles sont scabreuses, ils peuvent aussi les détruire.

Mais il y a les autres qui sont leurs pendants, ce sont celles des tiers adressés à l’intéressé et qui ont des doubles au départ qui, eux, ne peuvent être détruites.

Que Jean Jardin détruise toutes les correspondances, tous les documents et notes expédiés ou reçus ou que ses descendants le fassent, c’est une chose mais que les gens qui ont environné Jardin pour communiquer avec lui, ne conservent aucune pelure, ce serait étonnant.

Qu’il n’y ait eu aucun document adressé à Jardin que ce soit alors qu’il était directeur de cabinet de Pierre Laval ou bien ensuite conseiller de France en Suisse sous l’occupation, que des copies ne traînent pas dans certains bureaux, au fond des services secrets français à la fois vichystes, giraudiste, du CFNL, service secret suisses, ce serait tout aussi étonnant.

Qu’il n’y ait pas une note secrète sur Jardin envoyée aux Etats-Unis par Dulles ou consort de l’O.S.S., voir de l’I.S., ce serait encore plus étonnant.

Alors il faut admettre que Jardin qui a été directeur de cabinet jusqu’au 30 juillet 1943, d’un homme qui a été fusillé à la Libération, était un vrai malin.

*** / ***

lue 1750 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes