Je n'ai pas envie d'aller plus loin à propos de ce que je lis comme une opération de promotion reposant une fois encore, c'est si facile, sur la victimisation, ici familiale. On est à l'ère du "tous victimes" où on charge l'histoire, les mémoires, la politique et/ou la psychanalyse de trouver un responsable ou un coupable à ses propres manques. Cette affaire révèle ce mode de fonctionnement. Si je suis mal, si j'ai pas d'idée, si je suis dépressif, c'est bien sûr la faute à maman, tonton, grand-papa... Pathétique.
Bien cordialement.
RC
PS: Cette affaire permet aussi aux inévitables opportunistes en mal d'échos de se faire mousser en tirant deux ou trois liens vers leur prose immortelle, une autre (bonne) raison de ne plus la relayer. Je retourne à des lectures utiles comme Churchill, seigneur de guerre de Carlo D'Este chez Perrin. |