Bonsoir,

Signalons que la recension du livre de Jean-Louis Maurin a été proposée sur Histobibliothèque (sous le clavier de Nicolas Bernard)

Ici-même, sous la présentation de l'ouvrage, nous avions reproduit la table des matières sans mentionner les annexes notamment celles où Albert Londres [*], correspondant de guerre, est pris à partie par les responsables des Services d'information du GQG de l'armée.
S'il est entendu qu'en temps de guerre, les journalistes sont tenus au "devoir de réserve" en évitant de saper le moral de la troupe et de la population, je ne puis m'empêcher d'adhérer à cette phrase bien connue d'Albert Londres : "Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie".
Quoiqu'il en soit, l'accréditation d'Albert Londres, comme correspondant de guerre, fut retirée par Pétain lui-même.

Bien cordialement,
Francis.

[*] La biographie du célèbre journaliste sur Wikipedia . On notera (pour la petite histoire ou pour briller en société) qu'Albert Londres qui donna son nom au tout aussi célèbre Prix honorant un(e) journaliste de la presse écrite, est né à Vichy.

Les annexes du livre :

Annexe 1 - Pétain et l'orientation de la presse
Annexe 2 - Le rôle joué par deux journalistes dans l'entrée en guerre des Etats-Unis.
Annexe 3 - L'affaire Albert Londres vue du côté de l'autorité militaire.