> Nicolas Bernard ne maîtrise pas le sens des mots qu’il
> emploie. A plusieurs reprises il a voulu trouver des
> contradictions dans mes propos et il les a qualifiées
> d’apories. Il en a même dénombré 25. Quelle patience !
> Or, si une aporie est une contradiction elle n’est pas
> n’importe laquelle : elle est une contradiction
> insoluble. [...] Dire que Boisbouvier commet des apories,
> ou vit dans l’aporie, c’est donc le flatter ou l’honorer
> puisque ça veut dire qu’il met en lumière les
> contradictions insolubles de l’histoire.
Rappeler que l'ex-anonyme s'est contredit à plus de 25 reprises sur ce forum au cours du seul mois de décembre 2009 (et je n'ai pas tout recensé, sachant que les contradictions se sont renouvelées en janvier 2010) démontre au contraire que l'ex-anonyme fait preuve d'une parfaite incompétence historique et argumentative, outre que certaines desdites apories sont, par ailleurs, délibérées, car mises au service d'une stratégie de mauvaise foi que je dissèque dans l'article référencé.