"Conclusion : Vichy aurait bien procédé aux dénaturalisations, mais a reculé grâce aux protestations de l'opinion publique d'une part, et à la multiplication des revers de l'Axe d'autre part."
Vos propos sont très tendancieux et empreints d'une constante partialité.
Ils ne tiennent aucun compte de la négociation hyperimportante du 2 juillet 42, au 72 avenue Foch entre Bousquet, d'une part et Oberg et Knochen, de l'autre.
Cette négociation témoigne du souci de Vichy de protéger sa population, juive en particulier, AVANT, et non après, les premières rafles et les protestations qu'elles engendrèrent.
Cette partialité vous juge comme historien. |