De ce que j'en ai vu, pas grand chose en fait, le début et puis la fin... je n'ai pas aimé (et notamment la chute finale : l'hommage aux caméramen après Dachau, et avant la petite fille à la robe rose...).
Voir ce point de vue assez intéressant :
notamment ce passage : "
Pourquoi voit-on partout ce même ciel bleu pâle des cartes postales rétros ?
Pourquoi l’Ange bleu devient-il tout jaune ?
Pourquoi le cadavre flottant dans la mer, à Omaha Beach, se découpe-t-il sur un beau fond outremer (la mer était peut-être verte et Samuel Fuller, qui était sur place, raconte que l’eau près du rivage était toute rougie du sang des morts) ?
Pourquoi coloriser Dachau et pas Auschwitz ?
Pourquoi diviser Buchenwald en noir pour certains plans, en couleurs pour d’autres ?
Pourquoi l’enfer atomique est-il vert et mauve comme dans un film de science-fiction ?
En justifiant le renoncement à coloriser les images de la Shoah pour « ne laisser aucun doute sur leur authenticité » et pour que « personne ne puisse y trouver matière à supercherie », les auteurs d’Apocalypse admettent que tout le reste de leur film peut se voir comme une véritable matière à supercherie."
Bref, un "coup" marketing bien formaté, mais qui ne comble pas les amateurs un minimum "éclairés".
Et le pseudo-débat d'autocongratulation qui s'en est ensuivi m'a fait regretter les échanges de Ferro et de ses invités (mais c'était au siècle dernier...).
Non, décidément, tout reste à faire en matière d'histoire à la télé...
CM
* désolé pour le titre, je ne savais pas quoi mettre... ;-)))