le propre d'une vraie critique est qu'elle n'est pas conçue pour faire plaisir à sa "cible".
Ne te trompe pas de "procès".
Personnellement, je soutiens totalement la position de Jacques sur ce point.
à cette occasion, tu constateras que cette attaque virulente contre ton article a "dégénéré" en un débat de fond intéressant, où d'ailleurs l'affirmation première de ton détracteur ("rien n'est vrai... tout est orienté") a été proprement démontée sur au moins un des exemples cités (ce qui suffit).
Comme je l'ai écrit, le propre d'une démocratie est justement la liberté d'opinion (et de critique) sous certaines limites. Et sa défense implique donc que l'on soit prêt à tout risquer pour permettre à son pire détracteur de continuer à répandre librement sa bille contre soi (pas évident vu comme ça hein ?).
Enfin, je suis convaincu que lorsque tu écriras ton prochain article (ce que tu es d'ailleurs peut-être déjà en train de faire), tu penseras à cette critique, même injuste ou blessante pour toi, et tu chercheras à y parer à l'avance (même si tu ne t'en rends pas compte dans l'instant c'est inéluctable).
Mêmes (surtout) les pires critiques font progresser !
Cordialement et bon week-end à tous,
CM |