Il me semble, au risque de faire de la psychologie de comptoir, que le fil conducteur de Garaudy, son fil rouge, si je puis dire (!), c'est l'antiaméricanisme obsessionnel, l'antilibéralisme viscéral ; la peur et la haine de la liberté, de soi ; le désir de se réfugier dans une église aux murs épaissis par la réprobation de ses compatriotes ; bref, l'homme du ressentiment...
Dire que je l'avais quelque peu considéré dans l'après-68 lorsqu'il était en dissidence d'avec le P.C.F.... |