Bonsoir,
L'occupation allemande et son cortège de restrictions comme le couvre-feu, l'interdiction de rouvrir les salles de spectacle ... ne désarmèrent pas les Bruxellois qui arguèrent que l'ambiance cadencée, militaristes et policière que faisait régner l'occupant ne plaisaient pas aux Bruxellois. Pour réussir à se faire admettre, firent-ils comprendre aux autorités allemandes, il fallait plaire aux jeunes et aux femmes. Et c'est ainsi que le première autorisation de rouvrir les portes fut accordé au "Club Charles Trenet" à la condition dass diese streng privat sein müssen et réservé aux membres. Voir le fac-similé ci-dessous [*]
Charles Trenet s'y produira quelques temps plus tard.
Bien cordialement,
Francis.
[*] Source : Jacques de Launay, La Belgique à l'heure allemande, Paul Legrain éditeur, 1977 |