Bonsoir,

Le langage de Patton était effectivement .. disons ... plus abrupt.... comme Prosper vient de le préciser ci-dessus.

Pour la petite anecdote du dimanche soir, j'avais repiqué cette phrase dans le livre de Matthieu Longue "Massacres en Ardennes".
Inspiré par une contribution de Prosper Un massacre et rien d'autre je relisais quelques passages du livre de Longue, notamment la réfutation peu convaincante des différentes thèses expliquant le massacre des GI à Baugnez. A cet égard, la remarquable analyse que Henri Rogister a confié à Histomag Massacre de Baugnez est de loin supérieure à l'analyse de Matthieu Longue. Chez ce dernier, quelques "approximations" étonnantes comme - dans le contexte des crimes de guerre et du DIH - la mention de 250.000 victimes des bombardements de Dresde en février 1945.

Bien cordialement,
Francis.