Les choses ont été plus difficiles, donc plus méritoires, qu'une légende justifiée par l'état de guerre ne l'a dit.
Les amateurs d'histoire, les vrais, ont envie de savoir.
Le fait que la France et l'Angleterre, en enrôlant deux instituts de conservation des archives sonores, adressent à l'Unesco 64 ans plus tard un dossier aussi bidouillé que ceux du temps de guerre est une honte de notre temps.