Quand le docteur Petiot tuait des juifs dans son cabinet aménagé en mini Auschwitz, il ne se gênait pas pour se dire "résistant".
Sans aller jusqu'à dire que les sommes dérobées à ses victimes sont allées à des protecteurs déterminés, il est à noter que lors de son arrestation, il était dûment muni de papiers, qu'il devait à la protection du parti communiste, et qu'il s'apprêtait, en uniforme de capitaine, à rejoindre l'armée française dans les Vosges.
La question demeure: le PCF, parti des fusillés, a-t-il couvert les activités d'un serial killer antijuif? |