formation et service militaire [Travailler]

Après le baccalauréat, en 1937 au Lichtwark-Schule à Schmidt faisait d'abord Hambourg son service militaire et de travail. en 1939, Helmut a été rentré à Schmidt par les forces armées au service militaire et posté avec la défense aérienne et/ou les Flakartillerie à Brême. De 1941 à 1942, Schmidt en tant qu'agent à l'avant de l'est a combattu. Ensuite, il a été utilisé jusqu'en 1944 en tant que conseiller pour les dispositions de formation des Flakartillerie faciles dans le ministère de navigation aérienne de royaume à Berlin et dans les Bernau.
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En tant que membres du ministère de navigation aérienne de royaume l'oberleutnant supérieur est devenu Helmut Schmidt quand des spectateurs abkommandiert les Schauprozessen du Volksgerichtshofes contre les hommes de du 20 juillet 1944. L'Angewidert du comportement du président de juge Roland Freisler, s'est fait soulager Schmidt de son général placé devant de l'auditoire. [2]

De décembre 1944 à une fin de la guerre, en 1945 Schmidt en tant que chef de batterie à l'avant de l'ouest a combattu. Début 1945 il s'est prononcé d'un oeil critique pendant une pratique sur le Flak-Schießplatz Rerik à la Mer Baltique sur le maréchal de royaume Hermann Göring et le NS-Regime. Mais un NS-Führungsoffizier voulait le faire placer devant la cour. Un processus a toutefois été empêché, tandis que deux généraux placés devant Schmidt ont extrait à l'accès de la justice par des déplacements constants.

En avril 1945, l'oberleutnant supérieur Helmut Schmidt tombait dans les Soltau le Lüneburger bruyère dans une captivité britannique. En juin 1945 „l'exposé du socialiste Hans Bohnenkamp religieux sur le thème lui prenait dans un camp belge le peuple séduit « les dernières „illusions « sur le nazisme. [3] le 31 août 1945 il a été congédié à nouveau. [4]

Après la fondation de l'armée de la République fédérale, Helmut achevé Schmidt deux pratiques militaires, les premiers1958 en tant que capitaine D.R., pendant les deuxièmes il a été transporté au commandant D.R.

Heu, c'est pas moi le traducteur, c'est