Je désire juste faire part d'une constatation un peu délicate.
J'ai l'impression que, contrairement à certains de leurs collègues francophones, la plupart des historiens anglais partent dans leurs recherches avec un background moins lourd d'à priori et de ces certitudes "idéologiques" liées aux polémiques qui ravagent régulièrement les microcosmes franco-belgo-suisses-romands. Sans jamais remettre en cause le bien-fondé de la lutte jusqu'au bout de Churchill qui avait compris qu'on ne discutait pas avec Hitler et le nazisme mais qu'on les éliminait, ils avaient l'esprit plus dégagé pour analyser les situations et les comportements des êtres durant cette épouvantable SGM.
C'est l'impression que je ressens en lisant le bouquin de Beevor.
Bien sûr, cela nécessitera(it) un débat conséquent, mais je désirais l'exprimer à partir d'un exemple très récent.
On pourra peut-être y revenir...
Amicalement,
René |