Ne pas omettre le fait que les ténors de la collaborations avaient de jeunes secrétaires, aides de camps, adjoints, et bras droit de la main gauche.
Que ces jeunes, ultra fanatisés, sont restés fidèles toute leur vie à leur "patron" et à l'idéal de leur jeunesse.
J'en ai connu un, dont le "patron", célèbre porte parole de la milice, fut exécuté par la résistance.
Il vivait sous un faux nom, mais ne reniait rien, et bénéficiait d'une confortable sinécure, grâce à de nombreux appuis occultes.

Même aprés 1945, le nazisme et le pétainisme ont toujours pris soin de leurs anciens militants.