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Les ralliements à la France Libre. / CARLIER Marc

En réponse à -3 -2
-1Et ils ne l'ont pas retrouvé en prison ? de Jacques Ghémard

la source! de arcole le dimanche 16 septembre 2007 à 11h51

L’évadé rendu.

Une aventure un peu similaire m’a été contée par un vieux spahi algérien, français de souche, blessé de guerre comme moi en Tunisie contre l’Afrika Korps de Rommel, soigné à l’hôpital militaire Maillot d’Alger en février mars 1943.

Maréchal des logis, chef de bord d’une automitrailleuse légère au Levant, il avait déserté l’armée Dentz avec son engin blindé pour rejoindre les Anglais en Palestine, et passer chez de Gaulle, tout au début de l’année 1941 qui verra l’affaire de Syrie.
Les Anglais l’avaient tout simplement restitué avec son AML aux forces françaises en Syrie. Cassé de son grade de sous officier, il eut a subir une rigoureuse peine en unité disciplinaire.

Lorsqu’en juillet de la même année, les Anglais et les Français du général Legentilhomme attaquèrent la Syrie, il fut fait prisonnier dans les combats. Le choix lui fut donné de rejoindre les Français Libres. Il aurait alors répondu aux Anglais par le fameux mot de Cambronne.

Ainsi, simple troufion de 2e classe en 1943, se battant à nouveau contre l’Allemand, blessé de guerre, ce vieux soldat ne se considérait plus concerné. La servitude militaire en unité spéciale l’avait cruellement brisé. Son caractère était devenu froid, passif, indifférent.

Oublieux, sans rancune, il abandonnait néanmoins le métier des armes et cherchait à se faire réformer définitivement pour sa blessure.

Roger Guillaume (La guerre était notre lot) ISBN 2-9501268-0-4
(p.40)

*** / ***

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