Mea culpa, je m'accuse d'avoir trouvé indigestes et chiants, des bouquins considérés comme des valeurs reconnues
comme "le silence de la mer" (Vercors)
"Mon village à l'heure allemande (JM Bory)
ou "Journal des années noires" (J. Guéhenno)
J'ai commencé à trouver de la verve, de l'humour, un peu d'évocation intelligente dans "Au bon beurre" (Jean Dutourd" ou "Le temps des colonels de Marcel E. Grancher, voire "Les Russkoffs", de Cavanna.
Mais les atomes crochus avec un auteur, c'est forcément trés subjectif.
Au cinéma, et avec "la traversée de Paris", Claude Autant Lara a été le réalisateur qui a soigné au plus prés la reconstitution de l'ambiance de l'occupation. |