Je réponds à cela que j'aime les affaires claires et traitées une par une : il n'y a ni détournement ni acharnement à demander des nouvelles de Baynac, d'ici disparu, à quelqu'un qui vient de le rencontrer, au sujet d'une affaire où nous l'avons vu tirer des conséquences énormes (dans tous les sens de l'adjectif) d'un entrefilet non confirmé.
Très franchement, c'est vous qui donnez l'impression de fuir le débat en vous plaignant sempiternellement du traitement réservé à un auteur au lieu d'exposer précisément ce que vous considérez comme son apport. Vous nous l'avez annoncé et je souhaite que cela vienne.
Quant à ces "secrets de polichinelle partagés aujourd'hui seulement par quelques historiens, avocats, éditeurs, patrons de presse et ex des services secrets", vous en dites trop ou pas assez. De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce qui vous permet d'être aussi affirmatif ?
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