Cette présentation du livre va un peu dans le sens de mon coup de gueule à propos de l'attribution de décorations qui étaient (l'imparfait s'impose) prestigieuses à des people dont rien ne justifie pareille reconaissance. Bien sûr, je ne suis pas naïf, sous les IIIe, IV et Ve Républiques, on a décoré des nuls et des imbéciles utiles, mais là, on franchit les dernières frontières du bon sens et surtout de l'équité. Quitte à passer pour un réac ou un homme d'avant (Philippe Muray Dixit), je trouve affligeant la facilité avec laquelle l'Etat distribue, surtout en période électorale, des médailles qui ne sont plus que des hochets.
On est vraiment entré dans l'ère sans mémoire du grand N'Importe Quoi où tout vaut tout : une chanson d'Amanda Lear et l'œuvre d'un écrivain. Ecœuré.
RC |