... pour survivre, pour tenir, pour ne plus reculer - en tout cas jusqu'à Bir Hakeim - car ils étaient très minoritaires, les free french. Alors, ils devaient s'affirmer avec d'autant plus de force* qu'ils étaient considérés comme des "invités" de la dernière heure, une attitude perçue par des chefs militaires et politiques alliés comme de l'arrogance, alors qu'on peut penser qu'elle reflétait aussi le désespoir lucide de ceux de la première heure.
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